L'Australie à 30 ans

L’Australie ce n’était pas pour moi… et encore moins à 30 ans !

Témoignage de 2 ans d’expatriation à Sydney, ville pour laquelle je n’ai pas eu de coup de coeur les premiers mois et où il a été difficile de s’y intégrer. L’Australie à 30 ans ce n’était peut-être pas une bonne idée…

L’Australie c’est le rêve de beaucoup de français. Mais ce n’était pas le mien. L’Australie est synonyme de surf, soleil, chaleur, travail, richesse, beauté,... Oui c’est vrai, l’Australie est un mixte de tout ça mais il y a aussi des inconvénients à vivre en Australie et les gens oublient de les mentionner.

Je suis arrivée en Australie en juin 2017 pour 1 an de voyage en PVT, je voulais simplement faire le tour du pays en van ou 4×4, découvrir la nature, les plages de sable blanc, la Grande Barrière de Corail, le désert à la terre rouge. Seulement voilà, mes plans ont changé 2 semaines après mon arrivée en Australie.

J’ai décroché un travail dans mon domaine d’activité (le digital marketing) et un sponsorship visa à la clé. Je ne détaille pas ici comment j’ai obtenu ce travail et mon visa puisque j’explique tout ça dans cet article. Bref, dès mon arrivée, je suis retombée dans la routine métro – boulot – dodo.

Sydney, une ville ensoleillée et pluvieuse sans charme

Dès mes premiers jours, je n’ai pas eu de coup de coeur pour Sydney. La ville est beaucoup trop grande pour moi, elle manque de charme avec ses immenses building dans le centre ville. J’ai l’impression d’étouffer surtout l’été et en hiver il y fait froid car le soleil est caché par les bâtiments. Il n’y a pas d’anciens bâtiments, d’églises, de quartiers avec charme comme il peut y en avoir à Londres. Il y a aussi beaucoup de monde dans les rues, sur les plages, les bars, aux passages piétons… partout en fait et surtout dans le CBD et China Town. On sent que Sydney est la ville la plus peuplée d’Australie avec près de 5 millions d’habitants.

Aussi soyons honnête, il n’y a pas 365 jours de soleil par an à Sydney. Il pleut assez régulièrement à Sydney surtout en été après des journées de fortes chaleurs. Et croyez-moi quand il pleut, vous n’avez pas envie d’être dehors. Les rues deviennent des rivières.

La nightlife a été tuée il y a quelques années par le gouvernement. Une loi interdit l’entrée dans les bars et boîtes de nuit après 1h du matin et la consommation de spiritueux. La plupart des établissements de nuit doivent fermer leurs portes à 3 heures du matin. Allez bonne nuit !

Il est interdit de consommer de l’alcool dans les lieux publics. Alors la petite bière sur la plage face au coucher du soleil on oublie… enfin tout le monde le fait mais si vous vous faites prendre c’est amende salée.

La vie est chère; les logements, les transports, l’alcool, les restaurants, les péages… Certes, les salaires y sont plus élevés mais tout de même quand tu convertis en euros, tu te dis parfois “Oula, c’est cher !”.


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L’Australie, un pays pour les jeunes

Il faut savoir que l’Australie attire chaque année des milliers de jeunes en PVT qui veulent découvrir le pays des kangourous, vivre une expérience unique à l’autre bout du monde et gagner “beaucoup” d’argent. Seulement voilà, la grande majorité de ces jeunes ont entre 18 et 25 ans. Et oui, ils sont jeunes, très jeunes. Et quand toi, tu débarques à 28 ans et bien tu te sens déjà vieille. Et quand tu atteins 30 ans c’est pire ! On a pas les mêmes envies, les mêmes passions, les mêmes sujets de conversation bref on en n’est pas au même stade dans nos vies.

Je me suis clairement sentie trop vieille pour ce pays, trop vieille pour débarquer seule à l’autre bout du monde sans partenaire, sans amis, sans connaissances. C’est très difficile de rencontrer des gens de notre âge avec les mêmes passions et le même mode de vie. Je me suis fait quelques super bons potes au début mais ils ne sont pas restés très longtemps, en général entre 2 et 5 mois. Malheureusement, j’ai du dire au revoir de nombreuses fois à des gens que j’appréciais vraiment. Ils/Elles étaient devenu(e)s des confident(e)s, des ami(e)s Happy Hour ou brekkie du samedi, des travelmates lors de road trip et weekend away, toujours partant pour me suivre dans mes petites balades du dimanche de 18km (lol). Bref, sans aucun doute, ils ont été de très bons amis et ont rendu cette expérience bien plus cool 😊

Mais des gens comme ça, ça ne court pas les rues. Ils sont difficiles à rencontrer et quand on les voit partir c’est un déchirement. J’ai beau avoir été très active pour rencontrer du monde : bénévoles à des festivals, évènements d’expats, VIE, networking, Meetup, échanges linguistiques, BBQ pour les vieux (si si un BBQ spécialement pour les plus de 30 ans haha!)… et bien malgré tout ça, j’ai eu beaucoup beaucoup de mal à me faire des amis qui restent vivre à Sydney sur du long terme.

Travailler en Australie, les différences

La partie vie sociale est clairement ce qui m’a le plus manqué à Sydney. Et je n’ai pas pu compter sur le travail pour faire des rencontres puisque nous n’étions que 8 employés dans mon agence dont seulement 3 personnes de moins de 30 ans (moi y compris). Les deux filles âgées de 24 et 27 ans ne sortent jamais, ne boivent pas d’alcool, ne voyagent pas et ne sont pas très sportives. Autant vous dire que nous n’avions pas beaucoup de points communs.

De plus, il parait que les Australiens sont très ‘laid-back’ c’est à dire cool, relax même au travail et bien ce n’était pas le cas chez nous. Les gens travaillent de 8h30 à 17h30 avec seulement 30 minutes de pause dej’ devant l’ordinateur. Pas de pause cigarette puisque personne ne fume, pas de pause café pour se raconter nos weekends, pas d’after work. Tout cela est bien triste, je dois l’avouer.

Bref, je n’ai pas réussi à lier de liens avec mes collègues qui n’ont pas cette culture du partage le midi comme on a chez nous. Donc TOUS LES JOURS, je mangeais seule devant mon ordinateur 😔 ou dehors dans un parc en prenant mon déjeuner avec moi.

On ne peut pas généraliser cette situation car bien évidement cela depend de l’entreprise, du nombre d’employés, etc. Plusieurs français ont confirmé ce ressenti alors que d’autres semblaient avoir plus de facilité à lier des liens avec leurs collègues.

La solitude et le manque de la famille et des amis

Tout est dit dans le titre… La famille, mes neveux et mes amis m’ont énormément manqué. C’est dur d’être si loin et de manquer un tas d’évènements car on ne peut pas rentrer à chaque fois. Le décallage horaire n’aide pas non plus à garder le contact avec 8h de décallage en hiver et 10h en été. Une simple question peut parfois prendre 3 jours puisque je réponds quand vous dormez et vous repondez quand je dors.

Ma vie à Sydney m’a rendu assez solitaire aussi même si j’ai aucun problème à faire des choses, des activités, ou à voyager toute seule. Mais bon “Mieux vaut être seule que mal accompagnée” comme on dit !

 

 

 

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Les Australiens, sincères ou pas ?

Maintenant parlons des Australiens, ils ont l’air hyper gentil et sociable d’un premier abord mais en fait je les trouve très faux (point de vue très personnel). J’ai rencontré plusieurs Australien(ne)s avec qui j’ai bien accroché, nous avons discuté pendant des heures etc… et ensuite plus rien. Plus aucune nouvelle. Aussi, par exemple lors des visites d’apparts, tu penses l’avoir obtenu car vous avez discuté pendant un long moment et il y a eu un bon feeling, mais finalement ils te disent non et tu ne sais pas pourquoi.

J’ai souvent été déçue du comportement des Australiens qui je trouve ne sont pas très ouverts envers les étrangers sachant qu’eux mêmes sont étrangers, la plupart ayant des origines anglaises ou asiatiques.

Les vacances en France ou à l’étranger ? Le dilemme !

Autre inconvénient de vivre et travailler à Sydney, c’est les vacances. Nous n’avons que 4 semaines payées en Australie. Alors le dilemme est “Est-ce que je rentre en France ou non et combien de temps ?”.

Rentrer en France que 2 semaines ne vaut carrément pas le coup, entre le coût des billets d’avion, le temps de trajet et le décalage horaire; c’est éprouvant, tu ne fais que courir à droite à gauche pour voir tes proches. Du coup, en général tout le monde opte pour minimum 3 semaines de vacances en France, il ne reste donc qu’une semaine de vacances pour vraiment faire un break. Et comme les billets d’avion pour l’Asie, la Nouvelle Zélande, les Fidji ou autres destinations sont assez chers et bien, tu ne sors pas de l’Australie 😔

Donc en fait, je suis venue en Australie pour voyager mais je me retrouve à passer 3 semaines en France à courir dans tous les sens et 1 semaine quelque part en Australie. Depuis que je vis en Australie, je ne voyage quasiment plus. En Europe, on peut facilement partir sur un week-end pour pas trop cher, découvrir une nouvelle culture, une cuisine différente… ce n’est pas le cas en Australie. Je me sens bloquée dans l’Etat dans lequel je vis. Alors certes j’ai régulièrement voyagé dans le NSW mais au bout de plusieurs mois, j’ai commencé à m’ennuyer.

Whitehaven beach QLD

Cet article est assez pessimiste (désolée) mais je souhaitais mettre en avant les inconvénients de vivre à Sydney/en Australie surtout quand on approche la trentaine. La vie n’est pas toujours rose alors mieux vaut savoir à quoi s’attendre.

Update : Toutefois, après avoir tout quitté en mars 2019, je suis retournée vivre à Sydney à partir d’août 2019 pour me laisser une seconde chance de vivre une meilleure aventure en Australie. Je raconte mes raisons dans cet article (bien plus optimiste je vous rassure 😊)


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4 Responses

  1. Coucou Elodie,

    Ca m’a fait énormément de bien de lire ton article. Etant actuellement à Melbourne en échange universitaire depuis plus d’un an, je dois avouer que je me suis énormément retrouvée dans celui-ci et que c’est soulageant de voir quelqu’un d’autre nuancer ce pays tant idéalisé par les Français. Je suis partie sans trop d’attentes réaliser un rêve d’enfant qui n’était plus vraiment d’actualité mais dont l’occasion se présentait, en licence de Langues Etrangères Appliquées. Mon niveau d’Allemand est plus que moyen et les destinations Erasmus proposées par mon université laissaient à désirer. Pour le coup, mon expérience est différente vue que j’ai seulement 21 ans, aucune expérience professionnelle vraiment lié à ce que je veux faire, que je ne bois ni fume, végétarienne, introvertie et pas du tout sportive. Je confirme que tout est vraiment plus cher (loyer, amendes, carte SIM…). En ce qu’il s’agit de la pluie, c’est vraiment pire à Melbourne et je n’avais pas réalisé à quel point le temps peut être malencontreusement changeant avant d’arriver, ce qui n’est vraiment pas pratique quand on aime bien planifier à l’avance ses rendez-vous amicaux, amoureux ou escapades en extérieur. Habitant en centre de Paris originellement, j’ai trouvé Melbourne très très ennuyeuse et petite par rapport au nombre d’habitants, surtout le centre-ville bondé (comme tu le dis, la CBD et Chinatown à Sydney, tout pareil). Ayant l’habitude des lignes de métro assez fonctionnels – du moins quand il y a n’a pas de manif’ ou autres imprévus – j’ai trouvé le système de transports en commun en dehors du centre et des banlieues limitrophes extrêmement insuffisant et cher. Il y a tout le temps des travaux et pas assez de transparence à ce sujet par haut-parleurs. J’ai déjà dû prendre des “navettes” pour combler ce vide, ce qui est à vrai dire un système de remplacement en urgence de lignes de train ineffectives ou tunnels sous-terrain reliant les plateformes ferroviaires en travaux qui utilise des cars et taxis privés payés par l’équivalent de la RATP locale. On marche sur la tête, quand même. Et encore, j’ai entendu dire que c’est pire à Sydney. Ma résidence universitaire à Monash se trouve malheureusement dans une banlieue éloignée du centre et de la mer (à 1h15 voire 1h30) et le centre-commercial avec supermarchés à 25 mins à pieds ou sinon en bus (peu fréquent). Ce n’est plus d’actualité aujourd’hui puisqu’un supermarché Woolworths a ouvert dans une nouvelle galerie commerçante à 10 mins à pieds, alléluia. La météo peut être insupportable, je préfère encore la grisaille parisienne prévisible et le peu de pluie ou froid qu’on a au printemps et en été à la bipolarité du ciel victorien toute l’année. Je me rappelle encore quand on pouvait passer d’un jour à l’autre de 15 à 40 °C sans aucune transition et que la nuit tombée, j’avais pu rentré de boîte de nuit sous la pluie alors qu’il faisait 5 degrés, je répète en ETE. Même s’il y a à priori plus d’activités à faire de réputation par rapport à Sydney et que la ville a conservé un plus grand patrimoine architectural historique, on a quand même très vite fais le tour des monuments et attractions surtout quand on n’est pas véhiculée ou qu’on a pas un budget immense pour tester tous les cafés et leur “all-day-breakfast”. A part cette fameuse nourriture façon brunch, j’ai trouvé la gastronomie pas digne de ce nom, la majorité du temps immonde et pourtant, je ne suis pas difficile du tout. Il faut dire que l’Australie étant une colonie comme les US, elle n’a pas vraiment de “coutumes locales” ou culture propre hormis indigène mais complètement effacée par rapport à la Nouvelle-Zélande. Ma localisation n’a pas aidé, étant assez isolée de tout. Le choix est assez restreint au niveau des papilles gustatives, on a intérêt à aimer manger épicé (indien, chinois, coréen, malais…), kebab ou fast food si on veut garder son budget bouffe au plus bas. Un autre truc qui me chiffonne est le manque de choix de surgelés, de produits frais locaux, bio et de substituts à la viande – ironique pour un pays soit-disant écolo et vegan-friendly. L’absence d’une chaîne similaire à Picard en France donne l’impression qu’il faut tout le temps cuisiner, pas le droit d’être des feignasses ici… Au niveau des locaux, je les trouve pas très ouverts à rencontrer des gens d’autres pays alors qu’ils abondent de partout sur le globe dans le leur, et encore moins à s’intéresser à notre culture et notre langue. J’ai déjà remarqué cela dans une partie du Royaume-Uni, je pense que c’est très typique des pays insulaires, surtout Anglophones. J’imagine que c’est pareil en France mais au final, il est plus simple de se faire amis avec d’autres étrangers sur place ou des Australiens ayant déjà vécu “overseas” eux-mêmes. C’est vrai qu’il y a plus de mobilité géographique voire internationale chez les habitants donc il y a toujours cette idée de “temporaire” et de ne pas garder d’attaches pour ne pas souffrir qui rend les amitiés superficielles ou courtes en durée. Même si l’alcool est cher, les jeunes ne sociabilisent visiblement qu’autour de cela en excès, surtout en milieu universitaire ou c’est quasiment impossible de se faire potes avec nos camarades de promo vue qu’il n’y a pas de “classe”. J’ai l’impression d’étaler que du négatif donc je vais compenser avec les points forts. Je ne sais pas si c’était la même chose pour toi à Sydney mais perso à Melbourne, j’ai remarqué qu’il y a beaucoup de commerces qui proposent des soldes ou des évènements gratuits avec dégustation d’en-cas ou menu spécial beaucoup moins cher à la clé, de conférences pro / axés développement personnel / méditation / yoga ou autour d’un même centre d’intérêt parfois gratuites ou peu chères aussi. J’ai l’impression que si l’on cherche bien, on doit pouvoir trouver son “cercle” d’amis propre autour d’activités communes mais cela prend du temps et il faut redoubler d’efforts pour se revoir. Il y aussi des exceptions au niveau prix à la conversion en euros comme les boissons non-alcoolisées, certaines attractions (bowling, mini-golf, circuit de formule 1…) ou entrées en boîte (à la programmation musicale meilleure à mon goût) moins chères – encore plus si on bénéficie de tarifs de groupe. Sur Internet, il y a aussi pleins de codes promo, surtout pour les uber et compagnie très onéreux même après conversion en euros. Il est difficile de se faire des amis et encore plus des amis proches mais la mentalité “pêche Anglosaxonne vs. noix de coco Française” fait qu’il est plus accepté d’aller vers l’autre, de faire de nouvelles rencontres et non pas de se cantonner toujours aux mêmes vieilles connaissances. Cette attitude vis-à-vis des interactions influencent la société à grande échelle, même dans les rapports commerciaux
    décontractés et joviaux (par exemple, avec le personnel de santé ou de réseau téléphonique). A Melbourne, les plages sont en général pas top par rapport au reste de l’Australie mais l’eau est quand même plus claire et le sable largement plus propre, moins bondé et moins pollué que sur la Côte d’Azur. La bureaucratie australienne est beaucoup plus efficace et rapide, ce qui fait qu’on cumule beaucoup moins de stress et de papiers – tant qu’on peut payer par contre. Un autre point important est la sécurité. Cela dépend des quartiers mais en général, on ne sent jamais menacée peu importe à quelle heure on rentre le soir, la manière dont on est habillée ou s’il on est seule ou non. Les vols sont quasiment inexistants. On peut laisser ses affaires dans un endroit public pendant des heures et les retrouver plus tard, pareil pour le harcèlement de rue. Malgré l’immensité géographique rendant les paysages difficilement accessibles, c’est vrai qu’ils sont plus variés, sauvages et qu’on peut voir des animaux dans leur habitat naturel aisément même “en ville” (kangourous, possums, renards, koalas…). Pour résumer, je dirais que l’Australie est la plus adaptée aux Visa vacances travail (WHV) qui permettent de bouger sur tout le pays à moindre coût et d’explorer toutes les régions gigantesques en véhicule, à ceux qui veulent gagner des salaires astronomiques rapidement tout en économisant sur leur loyer par la location, aux jeunes qui adorent faire la fête surtout en soirées privées, aux férus de nature et randonnées (mais à tout prix véhiculés). Si c’était à refaire, je privilégierais le semestre d’échange à toute une année universitaire entière car les villes ont peu à offrir sur le long terme (en dehors des évènements récurrents) donc on en s’en lasse rapidement.
    Désolée de la longueur de ce commentaire 😉

    1. Bonjour Elisa, merci pour ce long commentaire et d’avoir partagé ton avis d’expatriée à Melbourne.
      C’est important de partager nos ressentis et les points positifs/négatifs pour les futures expats en Australie. Tout n’est pas rose dans la vie mais il faut garder en tête les points positifs pour profiter de l’aventure à fond 😉

  2. Bonjour Élodie, je viens de découvrir ton blog que je trouve très intéressant. En particulier cet article où tu donnes un point de vue plus nuancé que ce que j’ai pu lire ailleurs.
    Je me retrouve beaucoup dans ce que tu racontes par rapport aux rencontres lors de road trips, meetup etc. Et les ~au revoir~ qui se multiplient. :<
    C'est à Melbourne, que j'ai vécu une grande partie de mon année en Australie. L'ambiance de la ville compte aussi beaucoup.
    Je me sentais plutôt bien à
    Melbourne. C'est là que je me suis fait mes plus beaux souvenirs en terme de rencontres. C'est une ville avec beaucoup de charme comparé à Sydney et une vie culturel et artistique riche.
    J'avais 28 ans quand je suis partie et je pense aussi que ça a dû jouer dans ma perception des choses. J'ai surtout multiplier les petits boulots pour me laisser l'opportunité de bouger facilement. Mes attentes, durant ce voyage, étaient peut-être un peu élevés par rapport à la réalité.
    J'ai tout de même fait de très belles rencontres et conservées des amitiés qui comptent énormément pour moi aujourd'hui.
    Au plaisir de lire tes prochains articles

    1. Bonjour Axelle, je te remercie pour ton commentaire et de partagé ton expérience et ton ressenti également.

      J’aimerai bien vivre à Melbourne, la vie doit être cool aussi là-bas. Mais les galères sont sûrements les mêmes.

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